Le problème est le fait que nous utilisons des véhicules non adapté à un monde dont la population augmente, dont les envies et besoin en confort de la population ne cesse d’augmenter et dont les solutions voulant répondre à ce confort ne sont pas adapter à un monde qui essaye de baisser sa consommation d ‘énergie.
On peu retrouver ses même problèmes dans tout les secteurs, habitat, alimentation… et ce qui nous intérresse aujourd'hui la mobilité.
Est ce cohérent de déplacer une objet de 2 tonnes pour transporter une personne de 60kg.
La question est de l'ordre de l’efficacité et de rendement.
La vision du confort est aussi à explorer , est ce qu’on as besoin d’un véhicule qui peut aller à 200 km/H, est ce qu’on a besoin d’un coffre qui s’ouvre et se ferme à distance, d’une caméra de recule …
Est ce confortable de voir des animaux morts sur les routes du à cette inéquation entre l’environnement, la faune sauvage et la vision humaine de la vie.
Il est bien difficile de ne pas être dépendant de la voiture lorsqu’on vit en milieu rural à plus de 15km d’une ville.
Des solutions naissent comme le vélo cargo qui permet de transporter des enfants et des course mais c’est assez vite limité tant sur le volume de chargement que sur la distance à parcourir.
L’inflation se répand dans tout les domaines et les fluctuation dans l’énergie et les matériaux ferreux , terre rare vont rendre les véhicules lourd et les cout du transport très chère et inaccessible à une partie de la population.
Notre solution est d’utilisé au maximum des matériaux dont nous ne serons jamais en manque et dont les cours vont moins fluctué.
Nous nous tournons vers le bambou, qui à les même caractéristique que le carbone sur sa résistance et son poids.
la fibre de chanvre, fibre de lin, colle d’os , colle de nerf, résineux, résine de résineux en plus d’être disponible localement tous ces matériaux sont biodégradable et sont des puits de carbone.
Le type de matériaux va nous amener à des véhicule très léger et donc le faible poids du véhicule va nous permettre une motorisation bien moins important et donc une économie de matériaux chère et rare.
De plus la géométrie utilisé va nous faire encore gagner encore du poids sur une géométrie « classique ». certain appelle cette géométrie « alliene » je préfère utilisé le terme biominétique.
Les cibles visées :
- Les « Ecolo bobo » qui ont déjà conscience du problème du déplacement avec une conscience écologique et qui sont en avance de la masse pour expérimenter aujourd'hui les solutions de demain.
- Les « Riders » , nous voulons mettre en avant le coté glisse et agréable à rouler
- Les « Alternatif » qui ont du temps et qui désire réduire la facture lié au carburant.
- Les « Feng chui » intéressés par un véhicule fabriqué a partir de matériaux noble, naturel, brut, biodégradable, avec une géométrie « biomimétique »
- Les « sans-permis » qui n’ont pas encore ou n’on plus de permis.
Nos véhicules sont destinés au milieu rural pour des moyenne distances pour rouler sur des routes qui mène aux villes et aussi sur routes en graviers avec les trous et les bosses qui vont avec et même chemins en terre.
Les évidences d’un tel besoin est le cout du carburant qui ne cesse de grimper, le pouvoir d ‘achat qui s’aminci, la conscience de l’écologie qui croit.
Le problème du cout d’un véhicule intermédiaire nous semble être un frein pour les petits budget , entre 8 000 et 15 000 euros.
Proposez des formations à l’auto-construction semble être une solution aux personnes qui ont plus de temps que d’argent à l’image de l’atelier paysan qui construit en stage des tracteurs et outils adapté à une agriculture bio et cohérente.
Les formations à l’auto-construction permet de former l’usager à réparer son véhicule , l’améliorer selon ses besoins et sa pratique et qu’il ne soit pas dépendant du constructeurs ou du réparateur. Ce moyen permet de rendre davantage responsable l’utilisateur.
Nous envisageons dans une deuxième temps à faire du clef en main pour élargir le segment de clientèle. Les constructeurs des véhicules seront les personnes compétentes que nous aurons rencontrer au cours des formations à l’auto-construction.
L’objectif du véhicule est de remplacer la voiture; donc se déplacer pour aller au boulot, pour faire ses loisir, aller faire ses courses, aller chercher ses enfants, partir en voyage. Tous ce que fait la voiture au quotidiens avec une consommation moindre d’énergie et avec plus de temps pour apprécier le paysage.
Le temps de trajet en plus sera équilibrer par le prix d’énergie en moins. Une quantité trop importante d’argent est dépensé dans le carburant,
de plus le temps passé dans les bouchons sera diminuer significativement.
Pour transporter d’avantage de matériaux nous serons amener à developper ou à utiliser une remorque motorisée déjà existante, de cette manière il n’ y a pas besoin que le véhicule tracteur soit puissant.
Dans un premier nous irons dans les manifestations de vélo, de véhicule intermédiaire comme le salon de Millau et aussi dans les salons de voitures conventionnelles.
Il y aura un travail de communication important à faire, et un travail de lobbing important pour désavantager les gros véhicules. car le gros freins à l’épanouissement des véhicule léger est le véhicule lourd. C’est ce qui ressort dans les enquêtes et discutions lié au véhicule léger.
La peur de se faire écraser par un SUV est très présente.
Les usagers se tourne déjà vers ce mode de déplacement, les amis, twizy , voiture sans permis sont de plus en plus présent.
L’évolution des espaces vont aller dans le sens du véhicule léger et suspendu, il est vrai que si l’utilisation du pétrole se raréfie, le goudrons des routes se raréfiera aussi, et avoir des véhicules tout terrains est indispensable, plus un véhicule est léger et moins il s’embourbe.
On espère que les villes favoriserons de plus en plus les véhicule légers.
Narrative File: Silex dossier narratif.pdf
On parle souvent de l’extinction des dinosaures, les occidentaux d’aujourd’hui sont des dinosaures et ont besoin de dépenser beaucoup d’énergie pour pouvoir vivre. Cependant l’énergie et la matière va commencer à manquer car il y a plus en plus de dinosaures.
Faire beaucoup avec pas grand chose , voici une logique qui à de l’avenir. d’un part c’est vouloir se retirer des progrès main stream de notre civilisation mais d’autre part c’est réconfortant de ne pas avoir peur de manquer de quelque chose.
La transmission de savoir est une manière sans risque financier de transmettre une technique et de la voire grandir et s’épanouir.
La formation à l’auto-construction nous semble être une solution pour mettre le consommateur ou plutôt auto-constructeur acteur de son véhicule et donc responsable de l’entretient. Il peut ainsi s’approprier le véhicule et faire des modifications selon sa pratique.
L’idée est de proposer des formation avec différents modules pour apprendre à réaliser le cadre, la coque, la direction, le siège, l’assistance électrique à l’image de l’atelier paysans.
Les pièces comme les fusées seront usinée soi par un artisan, soi sous-traité.
Il pourrait être intéressant d’avoir des pièces comme la fusée commun à différent véhicule intermédiaire. ce qui permettrait d’avoir une économie d’échelle et de faire du moulage alu plutôt que de l’usinage.
Les roues, moteurs, freins, batterie, contrôleurs devrons être acheter dans le commerce. La récupération quand c’est possible est conseillé.
La création d’un partenariat avec les ateliers association de réparation de vélo nous permettrait de faire de la récupération de pièces.
Les lieux de formations peuvent être dans les fab lab, les associations de réparation de vélo , les éco lieu qui sont intéressé par tout ce qui est écolo. Des partenariats sont aussi possible avec les écoles.
Faire de la récupération quand c’est possible en partenariat avec les ateliers de réparation de vélo associatif de préférence. C ‘est d’ailleurs dans ces réseaux qu’il serait intéressant de communiquer et de réaliser les formations.
Les éco lieu sont aussi sensible à tout ce qui est écolo est donc serais susceptible d’accueillir une formation.
Après avoir réaliser quelques formation et former beaucoup de gens, certains seront intéressé pour devenir constructeur ou réparateur. Ainsi un réseau va tisser de gens compétent.
L’ environnement du véhicule intermédiaire semble être le défi le plus difficile à relever, car rouler sur les routes avec des véhicules de petite tailles aux allures modérer fait peur, imaginer une collision entre un véhicule intermédiaire et un SUV nous glace le sang.
Le véhicule intermédiaire peut rouler sur les voie réservé au cycliste si il est limité à 25 km/h.
Si il est limité à 45 km/h , il se retrouve à être trop lent pour les voitures et trop rapide pour les voie cyclable. En ville, la ou la limitation est à 50 km/h ça ne pose aucun problème, mais en campagnes sur les route à 90 km/h, ça deviens dangereux. Pour palier à ce problème , il faut coloré le véhicule de couleur vive, rose, jaune, l’équiper de phare et d’un système réfléchissant puissant et l’équiper d’un klaxon puissant à l’image des petites moto en Inde équipé d’un klaxon de poids lourd.
Augmenter la vitesse du véhicule intermédiaire destiné au milieu rural jusqu’a 70 km/h serait une solution pour être moins génant sur la route et permettrait une cohabitation plus facile.
Le véhicule peut stationner sur des places de voitures classique, sur des places de motos, sur des places de vélos.
Un système anti vol sera à mettre en place.
Un partenaire qu’il semblerais intéressant à créer est avec une bambouserai local , française apte a nous fournir en matériaux adéquat ,
avec un producteur de chanvre, qui nous fournirais une fibre adéquate.
Une entreprise textile fabriquant de la toile en chanvre et lin en France ou en Europe.
Un partenariat avec d’autre constructeurs pour faire faire des pièces communes, par exemple les fusée, acheter en gros volumes, roue, batterie, contrôleur…
Il semble pas difficile de créer des partenaires qui nous fournissent de quoi fabriquer nos véhicule.
Le nerfs de la guerre est de créer un partenaire politique qui facilite l’utilisation des ce véhicule en donnant l’avantage dans l’espace avec des vois pour ces véhicules.
Les territoires sont très important dans cette transition de la mobilité, car c’est eux qui permettront au véhicule intermédiaire d’exister pour le grand publique.
Changer la vision de la réussite avec un véhicule intermédiaire est aussi essentielle, nous somme tous formater par la belle voiture signe de réussite.
Ecosystem File: :Silex Dossier Ecosysteme.pdf
1/ Nous souhaitons minimiser les investissements pour ne pas engager de grosse somme d’argent pour ne pas être coincé si ça ne se passe pas comme prévu. Un local dans un atelier partagé serait plus confortable rien que pour stocker nos matière première.
2 option sont possible, s’équiper avec des outils ou faire sous traiter, louer un local pour faire séché nos bambou ou résineux ou l’acheter déjà sec. Nous aurons plus de visibilité ultérieurement pour faire ces choix.
Le model que nous envisageons ne demande pas de grand local car nous voulons faire des formations chez les autres dans un premier temps plutôt que de louer un grand espace qui serais trop couteux ou alors ponctuellement louer un atelier le temps d’une formation.
Nous vendrons un savoir, la matière première est peu couteuse mise a part la partie moteur, batterie, contrôleur, roue, frein a disque.
Notre valeur ajouté est sur une matière abordable, bambou, fibre de chanvre, résine, métal, résineux, bois brut de foret.
La main d’oeuvre est ce qui sera le plus onéreux mais dans un premier temps en formation il n’y aura que les intervenants qui seront payé et il y aura un cout pour la location d’un atelier.
Nous formons des auto constructeurs capable d’entretenir leurs véhicule, au moins capable d’entretenir le cadre, la coque, la direction.
Nous n’assurerons pas la maintenance sur les autres partie comme le moteur , la batterie , roue, … ce sera au fournisseur des ces derniers d’assurer le SAV.
L’avantage d’utiliser de la matière biodégradable est qu’il y a juste à laisser la matière ce décomposer ou à le transformer en combustible s’il s’agit de bois ou de bambou.
C’est donc l’ auto-constructeur qui financera ces cout.
Il y aura un cout lié au compostage industrielle lié à la résine époxy si nous choisissons cette solution.
Le plus gros problème de fin de vie est celui de la batterie, nous passerons à la batterie hydrogène dès que possible.
2 / Les sources de revenus seront principalement la participation des personnes que nous allons former.
De la location de véhicule permettrais de faire connaitre le véhicule sans grand investissement de la part de l’utilisateur.
Les subventions sont intéressante surtout pour la phase de recherche, expérimentation, prototype cependant une fois que les premiers véhicules sont opérationnels et que notre outils de production est efficace nous préférerions ne pas être dépendant des subventions.
Nous pouvons aussi vendre les plans 3 D sur internet avec toutes les explications pour le Do It Yourself.
3 / L’idée de produire en série avec de l’outillage important va à l’encontre de former des auto-constructeur, et donc de faire beaucoup avec peu.
Ceci dit une table de soudure modulaire serais indispensable, même les artisans constructeur de vélo en bambou en utilise.
Un tour , une fraiseuse, une presse nous permette de créer les premières pièces prototype mais le cout de production sera certainement beaucoup plus important que si c’est sous traité par une entreprises aux investissement colossaux.
Très faible investissement car nous voulons que le véhicule puisse être auto-construit,
Les investissement serais en communication pour faire connaitre notre démarche et quelques outils comme une presse pour aplatir les tube en acier ou alu ou inox dans le cas ou nous voudrions vendre des kit que le consommateur ou de petites entreprises assemblent.
4 / Dans le cadre d’un stage avec 4 personnes et un intervenant qui dure 5 jours. l’objectif du stage est de construire un châssis, avec direction, et frein. Un des participants repars avec le véhicule en cours de fabrication.
Il faudra 3 stage pour arriver au véhicule finit avec la transmission, la coque , le système d’éclairage et le moteur.
Le participant qui repars avec le vélo paye les matières premières soit
Cadre : 300 euros
Coque : 200 euros
Direction: 300 euros
Roue: 600 euros
Frein: 300 euros
Transmission : 500 euros
Moteur, Batterie, contrôleur : 1500 euros
Eclairage : 100 euros
Total cout matière : 3800 euros
Total formation : 1500 euros
Total véhicule : 5300 euros.
Chaque participants paye 500 euros les 5 jours.
Charge : Produit :
Location d’un atelier pour la formation : 300 euros stage 5 jours à 4 participants : 2000 euros
Salaire brut du formateur / 5 jours : 1500 euros
Défraiement du formateur : 200 euros.
Total charge : 2000 euros Total produit : 2000 euros
Il faut 3 stage de 5 jours pour créer un véhicule.
En 30 semaine de stage , on fabrique 10 véhicule et 30 autres personnes ont les compétence pour auto-construisent leurs véhicules.
L’entreprise ne fait pas de bénéfice mais les formateurs sont payé 1000 euros net par stage de 5 jours.
Pour investir dans de l’outillage et louer un local , on peut augmenter le cout du stage, augmenter si possible le nombre de participant et faire deux cadres en même temps et vendre la matière avec un pourcentage qui nous reviens.
5 / Nos cadres sont des montants en bambou, ou résineux assemblé par des pattes en métal ou de la fibre de chanvre résiné. si un montant est amené à casser suite à un accident ou usure, il est très simple de remplacé le montant par un autre. car c’est un boulon qui fait le lien entre les montants du cadre. Il est également possible de faire des modification de coque car ce sera le même système de montants solidarisé avec des boulons.
6 / L’open source est une base que nous devrions tous adopter, ça permet de diffuser les expérimentations à grande échelle, c’est une base pour un nouveau monde. L’égoïsme est son frein le plus important, la peur de se faire voler son idée.
Que quelqu’un fasse fortune ou se fasse reconnaitre sur quelque chose que quelqu’un d’autre plus discret à trouver. Nous sommes un pied dans le vieux monde avec ses brevet ou tout est verrouillé et un autre pied dans le nouveau monde ou l’on est content que les autres utilisent nos trouvailles.
L’open source fonctionne bien pour des gens qui ont une rentrée d’argent autre, qui développe une technique par passion.
Le freins le plus important autre que l’égo est la non rémunération du temps de recherche et développement.
Les subventions comme celle de l’ADEME extreme défi permettent en partie de rémunérer la recherche et développement.
Pour un monde en transition, je pense qu’il est plus facile de former les gens en échange d’une rémunération plutôt que d’offrir son savoir faire au grand publique sans retour d’argent ni reconnaissance.
S’il est possible d’être rémunéré et reconnu en tant que chercheur de l’open source nous serions prêt à en faire.
Nous sommes prêt à utiliser des composants open sources.
Economic File: Silex dossier economique.pdf
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