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De Communauté de la Fabrique des Mobilités
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A
L'information disponible sur l’offre de transport est pléthorique, multi-source et difficile à trouver même pour un individu motivé et volontaire à effectuer un changement modal. De plus, l’information décrit l’offre de transport disponible dans un territoire tout en méconnaissant la demande et les besoins spécifiques des personnes. Ce projet a pour but d'étudier et de déterminer les combinaisons d'informations pertinentes permettant de favoriser le changement volontaire durable de la mobilité automobile compte-tenu de la situation dans laquelle se trouve un individu. Notre hypothèse de travail principale indique que les informations pertinentes relèvent d’un système multidimensionnel complexe associant les aspects personnels, les caractéristiques du ménage et le contexte de l’implantation résidentielle. Afin d’identifier les combinaisons d'informations, le protocole d’étude repose sur un suivi longitudinal de personnes volontaires à un changement de la mobilité automobile et un test de validité de l’information pertinente. Ce suivi comprend trois grandes étapes : 1) Typologies du changement volontaire de la mobilité automobile, 2) Construction d’alternative(s) de déplacement crédibles et identification des informations pertinentes, 3) Test de la pertinence des informations. Les résultats directs relèvent principalement de typologies permettant d'apporter l'information ciblée et pertinente selon le type d'individu et ses caractéristiques sociogéographiques et de règles heuristiques de changement volontaire durable de l'autosolisme fondées sur des segmentations fines de la population périurbaines.  +
Adoption de l’Open Source par les organisations - articuler business model ouvert et implication dans les communautés  +
Organiser le secteur du transport pour offrir des solutions de déplacement efficaces est aujourd'hui un enjeu capital pour nos sociétés. La flexibilité, tendant à augmenter la qualité de service, constitue un des leviers pour améliorer les transports. Diverses formes de flexibilité apparaissent en effet dans l'offre actuelle. Dans notre thèse, nous appréhendons plus particulièrement ces services dans deux contextes sociétaux distincts : – d'une part, dans un pays industrialisé (la France) où le recours aux transports publics reste minoritaire car la dépendance à l'automobile est toujours très forte ; – d'autre part, dans un pays en voie de développement (le Sénégal) possédant des moyens financiers limités, mais où l'usage des transports collectifs est généralisé, impliquant une grande diversité des modes et une atomisation de l'offre. L'objectif de la thèse est d'analyser ces services, les modéliser et les simuler à l'aide de Systèmes Multi-Agents (SMA) afin d'évaluer ce qu'apporte la flexibilité aux transports dans ces deux types de sociétés. Nous proposons ainsi de confronter le fonctionnement des transports informels et artisanaux sénégalais (tels que les « clandos ») avec celui des systèmes considérés comme plus modernes en France, pour lesquels les capacités d'auto-organisation des individus ont été progressivement remplacées par des systèmes d’information et de communication de haut niveau technologique et logistique. Ces innovations semblent apporter plus d'immédiateté au transport flexible, mais nécessitent en contrepartie un encadrement fort de la part des autorités publiques générant des contraintes réglementaires et spatiales. À l'opposé, les services spontanés et dérégulés qui sont proposés au Sénégal bénéficient d'une plus grande souplesse, au détriment de la sécurité des passagers. Les apports et limites des deux types de services de transports sont comparés et analysés. D'un point de vue méthodologique, notre recherche est basée sur un ensemble de modèles inspirés de systèmes de transport observés en France et au Sénégal puis implémentés en Systèmes Multi- Agents dans l'environnement NetLogo, dont certains sont issus d'une analyse fonctionnelle de terrain et d'autres plus théoriques. Par l'analyse du comportement d'agents réalisant ces services en concurrence et/ou coopération, nous identifions des seuils et des conditions de mise en oeuvre des services en termes d'efficacité et de couverture spatiale. Grâce à la confrontation des modèles par la simulation, nous apportons des éléments de compréhension sur les services auto-organisés au Sénégal. Nous montrons également les forces et les faiblesses des systèmes de transport flexibles français. Nous proposons enfin des pistes d'intégration des services étudiés dans les systèmes de mobilité français et sénégalais.  
Dans un contexte de retour du vélo comme mode déplacement quotidien, la question des infrastructures cyclables reste un sujet important, en ce sens ou le manque d'aménagement est clairement identifié comme un frein au développement de la pratique du vélo. Pour répondre à cette problématique, les autoroutes cyclables suscitent de plus en plus l'intérêt des villes et des métropoles qui souhaitent faire du vélo un mode déplacement à part entière. Ces super-pistes cyclables se développent depuis quelques décennies dans les pays d'Europe du Nord particulièrement au Pays-Bas et au Danemark. En France, on relève des initiatives naissantes principalement à Strasbourg et à Grenoble. Après avoir décrit les principes d'aménagement de ce type d'infrastructure, ce mémoire tente d'analyser leur pertinence à l'aune des nouveaux enjeux d'aménagement de l'espace public qui prônent l'apaisement des vitesses, le partage et la cohabitation des modes, mais aussi au regard des perspectives de développement de l'usage du vélo en interrogeant la structure des déplacements quotidiens. La réflexion tente de façon globale à appréhender le lien entre infrastructure cyclable, aménagement de l'espace public et développement de la pratique du vélo. En tout état de cause, les autoroutes cyclables doivent être envisagées comme une composante d'une politique globale visant à créer une ville cyclable en associant le triptyque aménagement cyclable, modération des vitesses et développement des Transport en commun. Ces infrastructures doivent également viser une meilleure efficacité des déplacements à vélo plutôt que de tabler sur la vitesse pour une meilleure intégration et une utilisation optimale de l'aménagement.  +
C
La première partie de la thèse, en coopération avec une start-up de covoiturage de la région Parisienne, Ecov, vise à étudier les motivations monétaires et non-monétaires des conducteurs envers le covoiturage courte distance du quotidien par deux expérimentations sur le terrain. Une autre partie de la thèse utilisera les données d'observation de BlaBlaCar, plate-forme de covoiturage de longue distance, pendant la grève SNCF en 2018 pour étudier son impact sur les comportements des conducteurs et des passagers, ainsi que les effets du bien-être social. Mots clés : motivations, covoiturage, expérimentation  +
Pour réussir un projet et créer de la valeur dans un écosystème, il est souvent nécessaire de collaborer avec d’autres acteurs (individus et entreprises). Les projets de développement de solutions combinant produits et services (appelées Systèmes Produit-Service ou PSS) dont les systèmes de mobilité, ont des particularités rendant la collaboration très complexe à gérer et non encore bien maîtrisée de nos jours. Ceci est particulièrement dû à l’interdisciplinarité des parties prenantes, la relation très forte avec le client (ou le end user) ainsi que les problématiques de gestion de l’architecture et du cycle de vie. Dans ce contexte, notre projet de thèse consiste à développer un framework permettant la prise de décision dans différentes situations de collaboration, impliquant des parties prenantes de domaines variés. Il vise aussi l’évaluation de la performance de cette collaboration, en vue de la réussite du développement des systèmes produit-service et sa gestion tout au long de son cycle de vie.  +
D
Le concept de « démobilité » a pour objectif de diminuer, ou même supprimer les déplacements subis, c’est-à-dire qui ne sont pas voulus par une personne. La démobilité souhaite organiser autrement « les accessibilités des territoires et des personnes, et ainsi les modalités d’accès aux services essentiels à proximité des lieux de vie ». C’est un sujet sur lequel travaille la Fabrique des Mobilités, et pour qui la finalité est de faire émerger un/des communs autour de ce sujet. Un commun est une ressource ouverte, partagée et réutilisable par toute personne souhaitant travailler dessus. Plusieurs idées de communs sont envisagés : avoir des indicateurs de démobilité; mettre en place un hub de démobilité...D’autres communs peuvent voir le jour, et être portés par des personnes travaillant à la Fabrique des Mobilités, ou par des personnes extérieures. Le commun amène à travailler d’une autre manière, d’aborder autrement le travail. De cette manière, nous replaçons une horizontalité, une démocratie au travail, car la parole de chacun est prise en compte, et chacun peut accéder aux ressources liées au commun, et ainsi faire émerger un nouveau commun par exemple. Mais pour accéder à un commun, il faut respecter des étapes. Ces étapes permettront, d’une part, à répondre à un réel besoin de société, dans notre cas lié aux mobilités. D’autre part de rendre le commun autonome, qui peut vivre indépendamment des membres de sa communauté. Mots-clés : démobilité; commun; indicateurs; hubs multiservices  +
L
Le but de cette thèse était de tester l’applicabilité de la communication engageante dans le cadre de la sensibilisation à l’éco-mobilité. Les deux premières études (1 & 2) permettent de faire émerger les rapports entre un individu et sa mobilité. Nos résultats nous amènent à considérer un système de double contrainte, entre les enjeux du développement durable et les obligations quotidiennes. L’individu reconnaît les conséquences négatives sur l’environnement de l’utilisation de la voiture mais justifie sa pratique par un besoin de flexibilité important. Trois études ont testé l’efficacité de procédures d’engagement (étude 3) et de communication engageante (études 4 et 5). Notamment, une procédure de communication engageante s’est avérée particulièrement efficace. Elle associait un acte préparatoire portant sur les normes sociales (ce que les autres font et ce qui est socialement désirable de faire) avec un message réfutant les éléments négatifs de la représentation des transports en commun. Globalement, la communication engageante a un effet positif sur l’intention d’utiliser un mode de transport alternatif à la voiture mais pas sur les comportements réels. En référence au modèle Rubicon, il semble que le fait de s’engager produit un effet sur les processus intentionnels mais pas sur les processus de volition, qui maintiennent la volonté d’un individu lorsqu’il poursuit un but. La formation d’implémentations d’intention centrées sur l’identification des obstacles au report modal et de solutions à ces obstacles pourrait permettre de maintenir les processus de volition. Concernant la communication, nous suggérons de centrer les messages à visée persuasive sur l’adéquation entre les obligations quotidiennes et les pratiques éco-mobiles, de façon à montrer qu’elles sont conciliables. Le but est de permettre à l’individu de s’approprier le comportement plutôt que ses conséquences. Par ailleurs, associer la communication engageante aux normes sociales permet de renforcer l’efficacité de la procédure. Enfin, nous recommandons la mise en place d’interventions en plusieurs phases, adaptées aux étapes de changement dans lesquelles les individus se trouvent pour les aider à passer aux étapes suivantes.  
Le concept de ville durable a émergé il y a une vingtaine d’années dans la continuité de l’avènement du « sustainable development » promu lors du Sommet de la Terre à Rio en 1992. L’émergence de ce concept est étroitement liée à celle du Développement Durable, transposé au développement urbain. Les villes et leurs périphéries concentrent la majeure partie des commerces, services, zones d’emplois et transports. L’émission énergétique de l’activité urbaine constitue l’une des principales causes de dégradation de l’environnement. En parallèle, les dynamiques spatiales des grandes métropoles accentuent les disparités socio-économiques. La pression foncière repousse inexorablement les populations les plus modestes dans des périphéries de plus en plus lointaines. Derrière cet aspect du coût, c’est directement celle de l’accès à ses propres ressources qui se pose ; de nouvelles discriminations en découlent.  +
Dans un contexte de retour du vélo comme mode déplacement quotidien, la question des infrastructures cyclables reste un sujet important, en ce sens ou le manque d'aménagement est clairement identifié comme un frein au développement de la pratique du vélo. Pour répondre à cette problématique, les autoroutes cyclables suscitent de plus en plus l'intérêt des villes et des métropoles qui souhaitent faire du vélo un mode déplacement à part entière. Ces super-pistes cyclables se développent depuis quelques décennies dans les pays d'Europe du Nord particulièrement au Pays-Bas et au Danemark. En France, on relève des initiatives naissantes principalement à Strasbourg et à Grenoble. Après avoir décrit les principes d'aménagement de ce type d'infrastructure, ce mémoire tente d'analyser leur pertinence à l'aune des nouveaux enjeux d'aménagement de l'espace public qui prônent l'apaisement des vitesses, le partage et la cohabitation des modes, mais aussi au regard des perspectives de développement de l'usage du vélo en interrogeant la structure des déplacements quotidiens. La réflexion tente de façon globale à appréhender le lien entre infrastructure cyclable, aménagement de l'espace public et développement de la pratique du vélo. En tout état de cause, les autoroutes cyclables doivent être envisagées comme une composante d'une politique globale visant à créer une ville cyclable en associant le triptyque aménagement cyclable, modération des vitesses et développement des Transport en commun. Ces infrastructures doivent également viser une meilleure efficacité des déplacements à vélo plutôt que de tabler sur la vitesse pour une meilleure intégration et une utilisation optimale de l'aménagement.  +
'''Résumé''' Les initiatives visant à développer le covoiturage au quotidien et sur de courtes distances font l’objet d’une attention croissante d’acteurs privés et publics depuis l’essor de la pratique sur de longues distances. Cette thèse analyse la manière dont les services de covoiturage intègrent le champ de l’action publique et interroge les transformations qu’ils occasionnent sur le système de mobilité en place. La thèse est structurée en quatre parties. Le cadrage théorique et méthodologique précise la démarche de recherche, qui s’ancre sur trois entrées : les relations entre territoire et système de mobilité, le changement dans l’action publique et le processus de diffusion des innovations dans la société. Ces approches théoriques sont mobilisées pour répondre à la problématique et étudier des expérimentations de services de covoiturage dans les franges de l'Île-de-France (partie 1). La seconde partie retrace la généalogie du covoiturage pour montrer comment il s'affirme comme nouvel élément du système de mobilité et comme un objet d’action publique (partie 2). Nous étudions ensuite le processus de diffusion du covoiturage et l’ampleur de son intégration au sein de l’action publique de transport (partie 3) avant d'analyser les transformations provoquées sur le système de mobilité (partie 4). Cette recherche précise comment les politiques publiques de promotion du covoiturage, initialement mises en œuvre pour limiter les externalités négatives de l’automobile, tendent désormais à concurrencer l’offre de transport publique routière. Ce travail montre ensuite comment s’ouvre une fenêtre d’opportunité pour le développement du covoiturage en France et expose les difficultés que rencontrent les acteurs de l’action publique pour s’approprier cette innovation. La thèse rend également compte de l’émergence de nouvelles formes de services de covoiturage, de nature infrastructurelle, qui favorisent la territorialisation des politiques publiques de covoiturage et l’intégration de ce mode dans le champ du service public de transport. Dans un dernier temps, cette recherche montre qu’en tendant vers une hybridation des modèles de transport collectif-public et individuel-privé, le covoiturage ébranle les principes du service public et promeut une représentation libérale de la notion d’intérêt général. Ce faisant, plus qu’il ne remet en cause les logiques sur lesquelles se fondent notre système de mobilité, il participe au renforcement du système automobile. Ce travail mesure ainsi les limites d’une logique de croissance et d’individualisation des services de mobilités et conclut en proposant des pistes pour optimiser le covoiturage en limitant le risque que les gains de performances promis par ce nouveau modèle ne renforcent trop, à terme, les externalités négatives du système automobile.   '''Summary''' Initiatives aiming to develop carpools on a daily basis have been receiving increasing attention from private and public stakeholders since the rise of long-distance practice. This thesis analyzes how carpooling services fit the field of public action and the transformations they cause on the mobility system in place. The thesis is structured in four parts. The theoretical and methodological framework specifies the research approach, which is anchored upon three entries: the relationship between the territory and the mobility system, the change in public action and the process of diffusion of innovations in society. These theoretical approaches are mobilized by answering the research question and analyzing experiments of carpool services in the fringes of Ile-de-France (part 1). The second part traces the genealogy of carpooling and demonstrates how it becomes a new element of the public transport system and an object of public policies (part 2). We then study the diffusion process of the innovation and the extent of its integration into public transport action (part 3), before analyzing the transformations caused on the mobility system (part 4). This research specifies how public policies promoting carpool were originally implemented to limit the negative externalities of the automobile system, and now tends to compete with the public road transportation offered. This work then shows how a policy window opened for the development of carpooling in France and exposes the difficulties that actors of public action meets to appropriate this innovation. This research also presents the emergence of new forms of carpool infrastructure-related services, which favors the territorialization of carpool in public transport policies and the integration of this mode of transportation in the public’s utilities. Lastly, this research shows that, by tending towards a hybridization of public-private and individual-private transport models, carpooling undermines the principles of public service and promotes a liberal representation of the notion of general interest. In doing so, it is more likely that it has strengthened the automobile system rather than modifying it. Finally, this work demonstrates the limits of the growth and individualization of mobility services and concludes by proposing ways to optimize carpooling by limiting risk, which the performance gains promised by this new model, will reinforce - over time, the negative externalities of the automobile system.  
M
L’écosystème du transport urbain est en pleine mutation. D’une part, de nouvelles offres émergent : auto-partage, covoiturage, navette autonome et d’autre part, les offres classiques se renouvellent : modernisation et extension des réseaux de transport en commun, renouvellement des réseaux des équipements cyclables. L’évaluation de ces offres est souvent très localisée avec des externalités parfois mal prises en compte. La modélisation multi-agent peut être envisagée pour étudier les modifications dans la répartition spatiale et temporelle des externalités environnementales (pollution, bruit), nécessaire à l’évaluation multicritère des options envisagées. L’objectif de la thèse est, en s’appuyant sur le cas de l’aire urbaine de Nantes, de développer une méthodologie de calibrage d’un modèle multimodal des déplacements pour l’évaluation des externalités environnementales. La démarche qui repose sur l’utilisation d’une plateforme de modélisation multi-agent open source (Multi-Agent Transport Simulation (MATSim)) et de données publiques doit notamment identifier les possibilités de transposition d’une telle démarche sur d’autres territoires français. De par sa volonté d’appuyer les politiques publiques visant à la réduction des impacts énergétiques et environnementaux des villes et territoires, cette démarche s’inscrit dans les axes "Villes et territoires durables" et "Energie, environnement et société" identifiés par l’ADEME.  +
P
Ce projet se propose d’analyser la manière dont les connaissances scientifiques sur le changement climatique sont appropriées par des décideurs économiques tels que les gestionnaires d’infrastructures de transport et la façon dont l’analyse économique pourrait être plus efficacement mobilisée pour les traduire en éléments opérationnels de prise de décision d’adaptation. A partir d’une étude approfondie du cas de SNCF, ce projet explore les conditions réelles d’appropriation de l’information scientifique sur les impacts du changement climatique sur un territoire. Il pose la question des outils méthodologiques qui peuvent être mis à disposition des gestionnaires pour prendre des décisions d’adaptation. Plusieurs décisions concernant une portion du système ferroviaire français (gares et réseau) – entre les villes de Nîmes et Perpignan – implantée sur son territoire seront analysées en ce sens.  +
T
Mots clefs : Recherche exploratoire et observationnelle, Écosystème d’affaire (ESA), Innovation, Plateformes écosystémiques/ Plateforme de ressources, Stratégie, Mécanisme d'orchestration, Ago-Antagoniste, Écosystémique, Multipotentiel, Dynamique, Blockchain, Méthodologie des programmes de recherche scientifique (MPRS) de Lakatos, Projets d'innovation Collaboratifs, Paradoxe, Multipotentiel, Théorie des ressources.  +
De nos jours, la politique multimodale qui encourage l’utilisation de différents types de transports en commun a évolué vers une politique co-modale qui n’oppose plus la voiture au transport public mais encourage une combinaison de tous les modes de transport sans distinction dans le but d’une optimisation du service. Le but de cette thèse est de concevoir un système de transport capable de satisfaire les demandes des utilisateurs en leur fournissant des itinéraires co-modaux optimisés en terme de temps, coût et émission des gaz à effet de serre tout en respectant leurs préférences et priorités. Notre objectif est d'exploiter la co-modalité pour optimiser non pas un seul déplacement mais toutes les demandes exprimées par les clients du système. Ce sujet s’inscrit dans le programme « Villes et Territoires durables » de l’ADEME qui réinterroge les pratiques de mobilité et vise le développement de solutions numériques d’aide au déplacement. Cette thèse de doctorat est menée par Youcef Amarouche sous la direction conjointe d’Aziz Moukrim, Professeur à l’Université de Technologie de Compiègne (UTC), directeur de thèse et de Rym Guibadj, Maître de conférences à l’Université du Littorale Côte d’Opale (ULCO), co-encadrant. Le laboratoire principal d’accueil est Heudiasyc UMR CNRS 7253, HEUristique et DIAgnostic des Systèmes Complexes - UTC.  +
V
The aim of the PhD project is to propose an analysis framework for better identifying the value creation and capture mechanisms in innovation ecosystems, their coordination and the factors determining the transition between the two. We start our questioning with investigating the literature on ecosystems and what they are, continue then with the one about what value is, what are the difficulties in defining what value creation stands for, and the one on mechanisms for value creation and capture, pointing out to the fact that the majority of literature if focusing on economic value. We exploit our research question in the context of the innovation ecosystem concerning the mobility of elderly people in Lorraine region, France, given the context of ageing population and more and more actors wondering how to satisfy the needs of the respective group of population. We suggest what might be the main factors to stimulate and impede value creation and capture in the mobility for the elderly people ecosystem.  +
É
Étude de l’impact de la localisation des plateformes sur le dernier kilomètre et la longue distance  +